Le meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible.

Ҩ 10 things i hate about you.

Bonjour, bonjour chers internautes,
Je m'appelle Monica Elizabeth Ohanko, un si grand patronyme pour une si petite personne me direz vous, et bien oui, c'est ainsi que mes géniteurs ont décidé de m'appeler là-bas dans ma terre natale qu'est l'Amérique, maintenant je n'oblige personne à m'appeler ainsi alors Mona suffira très bien. Notez les origines amérindiennes de mon nom de famille. Je suis née le jour de la Saint-Valentin (un quatorze février donc) de l'année mille neuf cent quatre vingt-neuf à Roosevelt. Un rapide calcul vous apprendra que j'ai vingt-deux ans tout juste. Je suis étudiante en double cursus, arts appliqués et histoire de l'art, spécialité peinture, je ne sais absolument pas où ça va me mener mais j'aime ça. Pour payer mon loyer je travaille en tant que serveuse dans un café. Je vis en colocation dans un appartement avec une amie. Je l'aime beaucoup et je ne l'échangerais cette amitié pour rien au monde. Ma grand-mère est une accro aux légendes amérindiennes et elle m'apprend un tas de choses sur ce qui fut mon peuple. Je parle couramment trois langues, l'anglais américain cela va de soit, le français mais aussi le cherokee (c'est ma grand-mère qui m'a appris. Je prends des cours de danse orientale. J'aime le promener sur la plage et faire du cheval. J'aime la pluie mais beaucoup moins le froid. La neige c'est mon dada, je pourrais y passer des heures si seulement ce n'était pas aussi froid. Maintenant je sais que je suis chiante et bavarde et naïve mais je suis ce que je suis et on m'accepte avec mes qualités mais surtout avec mes défauts ! Ma mère m'a toujours appris ce genre de chose. Je suis passionnée de peinture (cf études) et je pense que je ne pourrais vivre sans. Sinon je suis célibataire et hétérosexuelle alors messieurs. GROUPE; lucky strip. AVATAR; crystal reed.

→ Mona est une grande collectionneuse de chaussons, des grands des petits, elle en a de toutes les tailles et de toutes les couleurs, bien sûr, cela peut paraitre bizarre mais voyez le bon côté des choses. Au moins, si vous en avez besoin, elle en a pour vous !
→ La grand-mère de Mona se considère comme étant la cheftaine de la famille Ohanko. Elle est terrifiée à l'idée que les légendes et coutumes des vieux amérindiens s’éteignent et devant l’indifférence de son fils, elle avait légèrement peur que ça finisse réellement. Puis Mona est arrivée dans la vie de la famille Ohanko. Elle écoute, elle adore entendre des choses, des légendes que lui raconte sa grand-mère, elle croit absolument tout. Même les choses pour pourraient paraitre stupide, elle les croit. C'est comme ça et pas autrement. Sa grand-mère en est enchantée.
→ Mona possède un tatouage, si son père l'apprenait, il lui hurlerait sans doute une bonne heure dessus avant de l'enterrer vivante. C'est le symbole de la puissance en cherokee, qu'elle s'est fait faire sur la nuque. Sa grand-mère, elle, sauterait sans doute de joie devant le symbole mais Mona préfère ne pas lui montrer de peur qu'elle en dise trop à son père.
→ Mona est une fanatique absolue de Christina Aguilera, elle se déhanche comme une dingue à chaque fois qu'elle entend sa voix retentir. Elle adore tout simplement cette fille. Pour vous dire, elle est allée voir douze fois son dernier film, Burlesque, au cinéma et elle connait les chansons par cœur. De quoi faire beaucoup de mal à son porte monnaie.
→ Depuis qu'elle est gamine, Mona peint, elle peint tout et n’importe quoi, ce qui lui passe par la tête, elle aime innover, dès qu'elle s'attache les cheveux en un chignon et qu'elle sort ses pinceaux, on peut être sûr qu'elle va nous inventer une nouvelle œuvre pour un nouveau devoir qu'elle réussira avec succès.

Ҩ pretty woman, walking down the street.

low flying birds, 18 ans, j'ai trouvé le forum sur bazzart et je le trouve juste généralissime.

Ҩ tell me about it, stud..

Mona apposa la dernière touche à l'édifice, c'était fini, tous les cartons étaient officiellement vide, elle allait enfin vivre la vie indépendante qu'elle avait toujours voulu vivre. « C'est quoi ? » Lui demanda sa jeune amie. Mona le regarda, pendre au dessus de son lit, un cadeau de sa grand-mère, elle l'avait fait à la main et on pouvait facilement remarquer ce travail artisanal par les défauts qui le caractérisait. C'était ce qu'il y avait de plus beau dans le travail d'un vrai artisan, les défauts, elle en était le premier témoin à travers sa peinture. « Un attrape-rêve. » Répondit-elle en souriant au souvenir de la tête de son père quand elle avait raconté ce que grand-mère Ohanko lui avait dit sur les attrape-rêves. Il avait tout simplement répondu que ce genre de connerie était un attrape-nigaud (notez le jeu de mot qu'il avait fait). « A quoi ça sert ? » Interrogea la jeune fille. Elle savait que Mona avait toujours de belles histoires à raconter même si elle y croyait très peu. Elle aimait bien connaitre ces vieilles recettes de grand-mère qui la rendait rêveuse. Mona était une artiste un peu naïve et elle avait toujours cru tout ce que sa grand-mère pouvait lui raconter sur les traditions et coutumes amérindiennes. « Il empêche les mauvais-rêves d'entrer dans ta tête. » C'était une version résumé de tout ce que grand-mère Ohanko lui avait raconté mais c'était le principe de base appliqué par tous les amérindiens de souches qu'elle avait pu rencontrer.

Ouvrant la porte d'un coup sec, elle se retourna pour reposer ses lèvres sur celles du jeune homme. Ce n'était pas son genre, inviter des garçons comme ça le premier soir et couché avec lui alors qu'elle ne le connait que depuis quelques heures. Mais cette fois, c'était différent, elle c'était sentir proche de lui, grisée par le nombre de points communs qu'ils avaient. Il se détacha lentement de la jeune fille pour regarder autour de lui, tout était impeccable et au milieu de la chambre trônait un somptueux lit qui n'attendait qu'eux. Ils avaient vu, beaucoup trop bu mais... A quoi pouvait bien servir la vie si on ne pouvait s'amuser un peu. Dépasser quelques fois les limites. Mona était toujours cette fille gentille, propre, et un peu naïve, elle voulait plus, en tout cas, elle se sentait aventureuse, dragueuse et surtout presque amoureuse à ce moment là. Sans doute l'effet de l'alcool. Elle poussa le jeune garçon sur le lit qui tomba de tout son long. Quelque chose accrocha ses cheveux et tomba par terre. « Qu'est ce que c'est ? » Demanda t-il alors pour s'assurer qu'il n'avait rien cassé. Mona regarda par terre quelques secondes. « Un attrape-rêve. » Il ne pu s'empêcher de sourire. « Mon grand-père en fabriquait. » Tout était parfait, ce garçon allait plaire à sa grand-mère pensa t-elle avant de s'abandonner totalement à lui, le laissant ôter un à un ses vêtements. Sans doute la plus belle nuit de sa vie si seulement elle pouvait s'en rappeler car le lendemain fut terrible, le garçon n'était plus là et elle n'avait plus aucun souvenir de la soirée qui était passée. Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle avait beaucoup trop bu et qu'elle était nue dans son lit. Une chose semblait sûre. Elle n'avait pas passé cette nuit seule. Elle sortit de sa chambre, passant un peignoir sur son corps. Sloane préparant du café, leva la tête, la dévisageant. « T'as une sale gueule ma pauvre. » Mais elle se fichait pas mal de la tête qu'elle pouvait avoir à ce moment là. « Tu l'as vu ce mec ? » Elle la regarda surprise. « Attends, t'es pas vierge ?! » Offensée, voilà comment elle se sentait, elle n'était plus vierge depuis des lustres, c'est clair, elle n'avait pas couché depuis longtemps... Mona regarda sa jeune amie avec un regard noir. « Non. » Répondit-elle sèchement. Sloane remarqua que Mona n'appréciait pas, et essaya de changer de sujet. « Bon maintenant que t'es plus vierge, il va falloir instaurer des règles pour les garçons. Dis-moi, vous vous êtes protégés ? » Elle la regarda aurifiée mais fut obligée bien malheureusement de répondre. « Je ne sais pas... Et j'avais dix-sept ans la première fois ! » Histoire que régler cette histoire de pureté une bonne fois pour toute. Elle oublia totalement la fin de la phrase et répondit. « Attends, t'as couché bourrée ? » Mona hocha la tête, ce qui provoqua un mal profond et méchant dans celle-ci. « Mais c'est qu'elle se dévergonde ! » S'en était trop, elle se leva et retourna dans sa chambre en claquant la porte.